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Ces opérations combinées, qui associent forces terrestres, navales et, à l’époque contemporaine, aériennes, se retrouvent tout au long de l’histoire. Elles ont le plus souvent réussi, mais au prix d’efforts, parfois colossaux, pour surmonter des difficultés considérables et régler d’ardus problèmes stratégiques, tactiques, logistiques. |
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Cherchant à savoir pourquoi le sort de l'Empire français a été scellé en Espagne et en Russie, où l'armée impériale a perdu des centaines de milliers de soldats, l'auteur analyse la stratégie de Napoléon en se focalisant sur ses erreurs. Il explique notamment que la guerre contre l'Angleterre a été perdue à cause de son ambition démesurée. |
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La vie des hommes et des femmes ayant exercé leur influence sur la politique royale française entre le Moyen Age et le XIXe siècle : Clotilde, l'abbé Suger, Isabeau de Bavière, Michel de l'Hospital, le cardinal Mazarin, le duc de Choiseul ou encore Joseph Fouché et Eugénie de Montijo. |
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Si la défaite française de Rossbach doit tenir une place dans l’histoire, c’est surtout parce qu’elle est, pour le roi de Prusse Frédéric II, sa première victoire allemande plus que simplement prussienne : elle fonde en ce 5 novembre 1757 l’immense mouvement national qui conduit à l’Unité de l’Allemagne au XIXe siècle, inscrite dans une sorte de généalogie militaire : Rossbach en 1757, Iéna en 1806, Sedan en 1870. |
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Une synthèse sur les guerres qui ont opposé la France et l'Angleterre depuis la bataille d'Hastings au XIe siècle. L'auteur décrit les enjeux de la guerre de Cent Ans, l'influence des guerres de Religion, les conflits sous le règne de Louis XIV, les luttes pour l'indépendance de l'Amérique du Nord ou encore les guerres napoléoniennes. Il montre le rapprochement des deux pays depuis le XIXe siècle. |
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Lorsque le IIIe Reich déclenche l'opération Barbarossa, le Royaume-Uni et les États-Unis soutiennent l'URSS en mettant sur pied des lignes d'approvisionnement maritimes. L'une d'entre elles, particulièrement dangereuse, passe par l'océan glacial Arctique. En analysant les opérations militaires en mer et à terre, l'auteur remet en question le caractère décisif de cette aide alliée. |
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L'histoire chronologique des bombardements aériens en France durant la Seconde Guerre mondiale. L'auteur relate l'offensive allemande et italienne en 1940, les premiers raids anglais, l'attaque des usines françaises par la RAF, l'union des forces anglaises et américaines, le Débarquement, l'offensive allemande et ses poches de résistance ainsi que le bilan humain pour la France. |
| | | | « Si l'on n'a pas au moins cent mille hommes et un bon nombre de canons, on ne doit pas se permettre de me faire la guerre. Et ces Prussiens en avaient bien autant et davantage ; à quoi cela leur a-t-il servi ? Je les ai dispersés comme de la poussière dans le vent, je les ai écrasés et, en vérité, ils ne se relèveront plus. » Ces paroles prononcées par Napoléon en novembre 1806, lors d'un entretien avec Fredrich von Müller, conseiller du duc de Weimar, résument parfaitement la campagne de 1806. Brillante pour l'Empereur, elle fut synonyme de catastrophe et d'humiliation pour une Prusse vivant dans le souvenir glorieux des victoires du Grand Frédéric. Comment une puissance européenne put-elle s'effondrer si brutalement, en un temps aussi court, à peine un mois ? |
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En octobre 1944, cela fait déjà deux ans que le Japon se trouve sur la défensive aussi bien sur terre que sur mer. Les défaites, puis bientôt les désastres se succèdent sans que cependant les militaires qui contrôlent le pouvoir à Tokyo, ne cherchent à y mettre fin en proposant aux Alliés une reddition. Dévasté, sans ressources, à bout de souffle, le pays cherche encore par tous les moyens à se battre. Cette autodestruction passe notamment par la création du corps de kamikazés... |
| | | | 25 juillet 1944, après six semaines de combats acharnés en Normandie, les Alliés déchirent soudainement le front allemand. S'engage alors une folle chevauchée qui les mène en 40 jours aux portes de l'Allemagne. La guerre semble gagnée. Chaque général rêve d'être le premier à franchir le Rhin. Mais Montgomery échoue devant Arnhem, Bradley disperse ses forces devant Aix-la-Chapelle, Patton s'enlise sur la Moselle, Patch et de Lattre butent sur les Vosges. Le front se stabilise. Malgré de multiples offensives durant l'automne, les Alliés piétinent, à tel point que le 16 décembre la Wehrmacht riposte dans les Ardennes. Aussi incroyable que cela puisse paraître, les Alliés viennent de perdre l'initiative. Ils ne gagneront pas la guerre à Noël. |
| | | | Au cours de la guerre de Sécession, le début de l'année 1864 est marqué par un virage important dans la gestion des opérations militaires par les Nordistes. Le général Grant reçoit du président Abraham Lincoln, incarnation du pouvoir politique, le titre de généralissime des armées fédérales. Dans le même temps, le président détermine une série d'objectifs stratégiques à atteindre avant la fin de l'automne 1864 pour assurer sa réélection et éviter qu'une paix de compromis soit signée avec les Confédérés. Il incombe alors à Grant d'établir une stratégie militaire qui prenne en compte les objectifs fixés par le pouvoir politique qui l'a nommé... |
| | | | En août 1914, deux généraux mythiques
s'affrontent : le jeune Erich Ludendorff, qui n'est pas encore le chef de
l'armée allemande, et le Belge Gérard Leman, identifié au destin des forts de
Liège. Ils luttent sur les bords de la Meuse, dans une bataille de douze jours,
la première de la Grande Guerre. Une bataille âpre, associant attaques
surprises d'infanterie et bombardement de la place forte. Les Allemands y
testent leurs nouveautés, Grosse Bertha et Zeppelin. Autre innovation, la
propagande, qui fait ses choux gras de la bataille de Liège, suscitant des
polémiques qui ne sont pas encore éteintes un siècle après les faits. |
| | | | L'Édit de Nantes, promulgué par Henri IV en 1598, avait mis un terme aux guerres de religion qui endeuillèrent et affaiblirent la France pendant plusieurs décennies. La révocation de cet Édit par celui de Fontainebleau, décidée par Louis XIV en 1685, raviva les conflits religieux au point de provoquer le départ de nombreuses familles protestantes. Cette politique voulue par Louis XIV, approuvée croyait-il par une majorité de Français, allait servir les projets que Guillaume d'Orange avait de supplanter Jacques II, son beau-père, sur le trône d'Angleterre. |
| | | | La campagne de l'armée française au Portugal en 1807-1808 fut la première invasion de ce pays par les troupes napoléoniennes. Sous les ordres du général Jean-Andoche Junot, ami personnel de Napoléon et candidat potentiel au maréchalat, après une dure traversée de l'Espagne, l'armée arriva enfin à Lisbonne, trop tard pour empêcher le départ de la famille royale. L'Empereur pouvait désormais réaliser son projet d'inclure le royaume lusitanien dans son orbite. Dès les premiers jours, Junot, devenu duc d'Abrantès, chercha à se faire aimer et entreprit un vaste programme de réformes. Cependant, rien n'alla comme prévu... |
| | | | Étrange guerre de Succession d'Autriche ! Bien qu'ayant inspiré
l'écriture de belles pages du roman national français à travers les
figures de Maurice de Saxe et de Chevert, ce conflit a en réalité mis au
grand jour les défaillances du système militaire français. Bien que
connues et commentées par les combattants et l'arrière, elles ont été a
posteriori éclipsées par le souvenir de succès comme la prise de Prague
et la bataille de Fontenoy... |
| | | | Dans les conflits qui ont ensanglanté le monde, la guerre sur mer a joué souvent un rôle important. C'est particulièrement vrai pour la France, bordée par trois mers et un océan. Il a paru dès lors opportun de s'intéresser à l'histoire des ports militaires français... |
| | | | Guerre méconnue s'il en est, bien que brièvement esquissée par Hergé dans L'Oreille cassée, c'est pourtant le conflit international le plus violent de l'Amérique latine du XXe siècle... |
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A partir d'archives inédites, les auteurs retracent cet acte final de la Seconde Guerre mondiale qui commence au lendemain de la bataille des Ardennes jusqu'à l'anéantissement de la puissance militaire allemande à la suite d'une série d'opérations militaires variées. Cette étude prend en considération les points de vue des différents intervenants, Alliés occidentaux et Allemands.
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| | | | Qui se souvient de la campagne de Tunisie en 1942-1943 ? Or cette campagne a suscité un magnifique élan des populations européennes et indigènes de l'Afrique du Nord. Tous voulaient reprendre le combat
contre les forces allemandes et italiennes aux côtés des Forces
alliées : anglaises et américaines. |
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Une étude du conflit afghan, de l'intervention soviétique de 1979 à 1989, des difficultés rencontrées par Moscou et les différentes batailles terrestres ou aériennes. L'auteur insiste sur l'importance de cette guerre dans le devenir des forces soviétiques et de la situation de la région. |
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Alfred von Schlieffen, commandant de l'armée allemande jusqu'en 1906, élabora un plan d'attaque de la France au début du XXe siècle, plan qui fut en partie appliqué en 1914. Étude de sa genèse, de ses modifications et de sa mise en oeuvre. L'auteur revient aussi sur les regards qui y ont été portés après-guerre et qui ont construit l'image de l'armée et de l'Empire allemands. |
| | | | Depuis la chute de Constantinople (le 29 mai 1453), les Turcs ne cessent de s'emparer des places fortes de la chrétienté. En 1571, après leur conquête de Chypre, le pape Pie V met sur pied la Sainte Ligue. Le 7 octobre, la flotte ottomane rencontre celle des chrétiens au large de Lépante.... |
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Si le désastre de Sedan entraîna l'abdication deNapoléon III, la capitulation du camp retranché de Metz, qui allait suivre,sonna le glas du Second Empire et les espoirs de régence du maréchal Bazaine.
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| | | | Si le nom de Port-Arthur reste gravé dans les mémoires, le siège par les Japonais de cette base navale russe entre mai 1904 et janvier 1905 est oublié. Basé exclusivement sur des témoignages de première main, ce livre fait revivre la plus célèbre bataille de la guerre russo-japonaise. |
| | | | L'Italie est devenue entre la fin du XIXe siècle et 1936 une puissance coloniale : ses dirigeants successifs souhaitaient lui rendre la Méditerranée, la Mare Nostrum de la Rome antique. Ce livre décrit cet aspect de l'histoire italienne assez peu connu en France et ses conséquences sur la place de l'Italie au sein du « club des grandes puissances » durant la première moitié du XXe siècle... |
| | | | En octobre 1939, alors qu'il venait de vaincre la Pologne en trois semaines, Hitler concentrait tous ses efforts sur la préparation de la campagne à l'Ouest... |
| | | | Pendant trois mois, Napoléon déploie une activité
incroyable, est un stratège et un tacticien hors pair et fait appel au
patriotisme des Français mais les hommes sont fatigués, le pays est épuisé. La
cause est perdue. |
| | | | Dans ce livre qui paraît après le 70e anniversaire de « Market Garden » et qui constitue l'une des rares études récentes disponibles en français, l'auteur propose une réévaluation de cette opération sous l'angle du renseignement et de sa prise en compte (ou non) dans la planification opérationnelle, le tout dans le cadre d'une coalition marquée par les divergences entre Anglo-Saxons sur le meilleur endroit où porter le coup de grâce au Troisième Reich. |
| | | | La guerre finno-soviétique de 1939-1940, dite guerre d'hiver, forme
l'un des épisodes les plus dramatiques de la Drôle de Guerre. Géopolitiquement,
cette guerre est le résultat lointain de l'effondrement de l'empire tsariste,
qui crée aux frontières de l'URSS une série d'États soumis dans la fin des
années 30 à la pression soviétique. Attaqués par l'URSS fin novembre 1939, les
Finlandais se défendent de façon inattendue face à une Armée Rouge mal préparée
au conflit... |
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L'auteur décrit comment Hitler a failli l'emporter et paralyser son adversaire l'URSS étant dans une situation critique au moment où la Wehrmacht déferlait dans le Caucase. |
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