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Recueil d'essais sur les principaux penseurs et écoles de pensée de l'histoire de la géopolitique. |
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Tout le monde connaît le traité de Clausewitz De la guerre. On sait moins qu'il ne s'agit que du premier volet d'un triptyque qui aurait dû comprendre un traité sur la guérilla et un traité sur la tactique. De ces deux autres volets, n'ont été écrits que des fragments qui n'ont guère attiré l'attention mais qui sont importants tant par leur contribution à la compréhension de la pensée de Clausewitz que par les éclairages originaux qu'ils apportent à la matière traitée.
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Dans cet ouvrage, est réuni l'ensemble des conférences destratégie écrites par le colonel J.F.C. Fuller lorsqu'il était directeur del'instruction au Staff College de 1923 à 1925.
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Aussi bien dans le monde germanique que non germanique, la pensée militaire prussienne des XVIIIe et XIXe siècles est méconnue, dans la mesure où de grands arbres, comme Frédéric II, Clausewitz, Moltke ou Schlieffen ont caché la forêt. Les études présentées ici se penchent sur des théoriciens militaires ayant revêtu jadis une importance capitale mais qui, fort injustement, sont tombés dans les oubliettes de l'histoire... |
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C'est à une lecture inhabituellede l'histoire militaire que nous convie ce livre. Si les sujets abordésdébordent largement de ceux de l'histoire nationale, ils sont examinés par unœil français qui les dégage de l'optique anglo-saxonne dominante sur le sujet...
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Panorama global de la stratégie, sous ses aspects théoriques et pratiques, et dans toutes ses dimensions : générale, aérienne, maritime, nucléaire, etc. |
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Les deux conflits mondiaux du XXe siècle ont fait entrer l'humanité dans l'ère de la guerre totale, caractérisée par un degré sans précédent de mobilisation économique, technologique et sociale de la nation. Ces contributions proposent une approche comparative entre les deux guerres à travers les thèmes de l'armement, de l'économie, de l'innovation technique et de la gestion administrative.
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Si les femmes ne semblent pas à première vue les plus concernées par les guerres, sauf en tant que victimes, l'historiographie a montré depuis une dizaine d'années, qu'en réalité les femmes n'étaient pas absentes des armées, ni des pays ou villes en guerre. Si leur participation aux faits de guerre est moins évidente que celle des hommes, cela ne signifie pas qu'elles soient totalement écartées des conflits... |
| | | | Si la guerre sur mer a considérablement évolué depuis les travaux de
Mahan ou de Corbett, ces vingt dernières années ont laissé la place à
des mutations profondes, tant d'un point de vue conceptuel que
technologique.
Cet ouvrage tente d'en dresser la cartographie, en montrant les
évolutions de la géopolitique théorique, des stratégies des moyens, des
conceptions nationales, de la stratégie théorique, de la tactique ou de
l'apparition de nouvelles catégories de missions (lutte contre la
piraterie, diplomatie navale ou encore lutte contre le terrorisme
maritime)... |
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Il y a vingt-cinq siècles, un auteur chinois, Sun Zi, a résumé en treize articles (chapitres) les préceptes fondamentaux de l'art de la guerre en soulignant la continuité de la guerre et de la politique, la complémentarité des moyens directs et indirects, l'importance des moyens psychologiques. Introduit en Europe au XVIIIe siècle par un jésuite français, le père Amyot, ce chef-d'œuvre est aujourd'hui unanimement reconnu comme un classique de la stratégie. |
| | | | La petite guerre - cette guerre de surprises et d'embuscades, qui
emplissait le théâtre des opérations entre les sièges et les batailles -
a tenu une place importante au long du XVIIIe siècle, dans les conflits dynastiques européens. |
| | | | Les guerres de Vendée constituent le prototype des guerres
insurrectionnelles contemporaines. Un peuple en armes a tenu en échec
une armée régulière au-delà de ce qui était concevable en usant de tous
les procédés, de la grande guerre à la guérilla. Cette résistance
prolongée a été rendue possible par la bravoure des combattants, par
leur adaptation au terrain, par l'exploitation des faiblesses d'une
armée désorganisée par la Révolution. |
| | | | De 1964 à nos jours, les Forces Aériennes Stratégiques (FAS) ont joué un
rôle capital dans la mise en uvre de la politique de dissuasion
nucléaire de la France, garantie de son indépendance. Aucune étude historique d'envergure n'avait encore été publiée sur ce sujet. |
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Ce petit livre expose les raisons pour lesquelles il convient derepenser les principes tactiques par trop poussiéreux et explorer lesvoies nouvelles offertes par la haute technologie à l'heure oùl'asymétrie devient projetable. |
| | | | Dès sa parution aux États-Unis en 1976, cet ouvrage s'est imposé comme
un classique. Edward Luttwak répond à une question qui a longtemps
intrigué les stratèges : comment Rome a-t-elle pu maintenir si longtemps
sa domination de la Britannia (Grande-Bretagne) à l'Euphrate avec une
trentaine de légions seulement (200 000 hommes environ) ? |
| | | | « Le livre de Dimitry Queloz explore, comme jamais on ne l'avait fait
auparavant, l'une des grandes questions de l'histoire militaire :
comment l'Armée française en est-elle arrivée à entrer en guerre en 1914
avec une doctrine de « tactique générale » (tactique des grandes
unités) résolument offensive et manuvrière, alors que la fin du Second
Empire avait été marquée par le culte des « bonnes positions » et que
les débuts de la IIIe République avaient été défensifs et très respectueux du feu ?... |
| | | | Homme de pensée et homme d'action, stratégiste et stratège, l'homme est aussi un héros, celui qui a conduit, il y a un siècle, la France à sa dernière grande victoire à ce jour. Ferdinand Foch naît à Tarbes en 1851. À l'issue de sa scolarité à l'École Polytechnique, il choisit la carrière des armes. Professeur à l'École de guerre de 1895 à 1901, il en prend le commandement en 1908. Dès le début du premier conflit mondial, il se distingue à la tête de la 9e armée et prend une part capitale dans la première victoire de la Marne. Nommé généralissime des armées alliées puis Maréchal en 1918, il est reçu à l'Académie française en 1920 avant de s'éteindre en 1929 et d'être inhumé aux Invalides. |
| | | | Depuis deux siècles, les accidents de l'histoire ont placé la guerre au
centre d'un intense débat d'idées. Civils et militaires, historiens et
politiques, philosophes et stratèges en ont scruté chacun des aspects
pour mieux la comprendre, la préparer ou l'éviter. Dans ce débat. Carl
von Clausewitz, l'auteur du Traité De la Guerre, a occupé en France une
place particulière... |
| | | | De la théorie du « choc des civilisations » amenant son lot de
commentaires sur la « dépolitisation de la violence » à l'éventuelle
inadaptation de l'« étrange trinité » aux armées professionnelles, en
passant par les analyses affirmant l'irrationalité politique et
stratégique de certaines formes de violence collective, c'est la
totalité de l'édifice clausewitzien qui est mis en question. Que faut-il
retenir, abandonner ou redécouvrir de Clausewitz à l'heure de la
professionnalisation, des opérations multinationales, de
l'hyperterrorisme et de la prolifération nucléaire ? |
| | | | En 1921, le général italien Giulio Douhet publie La Maîtrise de l'air,
ouvrage fondateur de la pensée stratégique aérienne. Ce livre va avoir
une influence immense sur les armées de l'air de tous les pays. Il sera
traduit et commenté tant aux États-Unis que dans la Russie soviétique,
en France, au Japon, au Brésil... |
| | | | Le général Joseph Rogniat (1776-1840) commandait en chef le génie de la
Grande Armée en 1813 et celui de l'armée du Nord en 1815. Un an après
Waterloo, il publia des Considérations sur l'art de la guerre où il
émettait certaines critiques à l'égard de Napoléon. À Sainte Hélène,
celui-ci lut l'ouvrage et le prit de très haut...
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| | | | En 1926, le major américain William Sherman tire de son enseignement à
l'Air Corps Tactical School un traité de stratégie et de tactique
aériennes fondé sur les leçons de la Première Guerre mondiale. Ce texte
est resté à peu près inconnu du fait de la disparition prématurée de son
auteur. Il constitue pourtant l'exposé le plus ample et le plus
systématique sur la guerre aérienne publié dans les années 1920. |
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Cette enquête historique, la plus vaste jamais réalisée en
France, permet de mesurer l'infinie variété des supports de la
propagande mais aussi la permanence de certains procédés que l'on croit
trop souvent révolus. Une approche critique et historique permet de
mieux comprendre les mécanismes des médias contemporains. |
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1940, le Blitzkrieg, le bombardement stratégique, Hiroshima, l'Indochine
et la guerre révolutionnaire, la C.E.D., l'Algérie et la guerre
psychologique, de Gaulle et la stratégie nucléaire, la France et
l'OTAN... Souvent sur fond de drames militaires, l'histoire de la France
depuis la Deuxième Guerre mondiale abonde en controverses stratégiques
dont Raymond Aron fut l'un des protagonistes les plus lucides et les
plus passionnés. |
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Dans les années 1840-1850, la pensée militaire connaît un flottement:
les grands fondateurs ont disparu (Bülow, l'Archiduc Charles) ou ont
déjà produit leurs uvres majeurs (Jomini). Clausewitz n'est pas encore
connu. Dans ce vide relatif, un auteur prussien va occuper la place
laissée vacante. Son livre Théorie de la grande guerre se veut une
réfutation implicite de Clausewitz, une synthèse de la stratégie et de
la philosophie hégélienne...
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Analyse l'histoire de la pensée et des doctrines navales de l'épopée coloniale jusqu'à la Première Guerre mondiale. Montre comment le contexte idéologique a influencé les choix stratégiques.
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Décrit les changements et bouleversements intervenus dans la navigation, la stratégie et la tactique navales à l'occasion de l'introduction sur ..... |
| | | | Ce document aide à la compréhension des rapports stratégiques actuels. A la lumière des rapports de puissance contemporains, l'auteur tente de déterminer le pays qui s'est le mieux adapté aux bouleversements de la fin de la guerre froide, en 1991.
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| | | | Maurice de Saxe (1696-1750), maréchal de France au service de Louis XV et vainqueur de la bataille de Fontenoy, livre ses réflexions sur la guerre et les généraux de son temps.
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| | | | Les questions militaires occupent une place majeure dans l'oeuvre de l'historien, consul en Gaule, en Asie. De l'âge d'or de Trajan au désastre militaire oriental....
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